Tendre savoir-vivre avec les animaux

Il écrit en 4e de couverture :

On ne dit jamais "merci" aux animaux. Pourtant on le devrait. Ils enchantent le ciel, la mer et la terre.
Sans les animaux, il n'y aurait pas de paradis terrestre.


Ils ne méritent pas l'ingratitude des hommes. Ils méritent leur reconnaissance.


Alors, comme ils ne le demandent jamais, on va leur dire "merci".

En préface, il met :


" Je dédie ce livre à ma vache Noiraude et à Antivol, mon oiseau qui a le vertige."


Des extraits au fil des jours ...


Le voici avec sa chatte Artdéco qui a autant d'humour que lui !!!!

Intéressant merci nade

Merci de votre passage !

Oui, Colette, tout ce qui précède n'était que la préface. A partir de ce soir, je mettrai de superbes extraits !

Je dis "superbes", mais encore faut-il aimer les animaux pour apprécier !!!

"Est-ce que l'homme serait capable de construire un nid d'hirondelle avec sa salive ?
Quand il bave, l'homme, il fait seulement des taches sur son tee-shirt.

Est-ce qu'un homme serait capable, avec ses gros doigts, de tisser une toile d'araignée ?

Pourquoi dit-on qu'une personne pas très intelligente a l'air bête ?
J'aimerais bien avoir l'air bête, comme un tigre ou comme un aigle ..."

Tout ça est très vrai nade merci

Pas bête, la bête !!!!

Suite ...

Les dindes, les vautours, les bécasses, les buses, les pintades, les corbeaux, les serins, les pies ...
Et les morues, les thons, les requins, les cochons, les vipères, les taupes, les cafards, les cancrelats, les chacals, les gloutons, les hyènes, les chiens, les chiennes, les chameaux se sont regroupés pour créer l'association : "Les Colériques Homonymes".


Ils ne supportent plus que leurs noms servent d'insultes !


En revanche, les tourterelles, les lapins, les biches, les colombes sont enchantés que leurs noms soient utilisés par les humains dans leurs déclarations d'amour.

:rire8: :cocc rit: :rire9:

Original merci nade

Merci de votre passage les filles !!

C'est bien vrai ça, ma biche!!!!

:rire femmes: :clin:

Suite : après avoir remercié les animaux qui ont parsemé sa vie et rendue plus belle, l'auteur raconte cette anecdote ( vraie ou fausse ??? ) :

Je pense à St François d'Assise, un fin gourmet.
Un jour qu'il avait à dîner l'évêque de Pérouse, François décida de préparer un homard à l'armoricaine.
La recette exigeait que frère homard soit tronçonné vivant, François demanda à frère Elie de lui bander les yeux avant de découper l'animal.


François ne supportait pas de voir souffrir un animal.
Il se voilait la face.