Dans l'antiquité, Grecs et Romains l'utilisaient déjà pour favoriser la cicatrisation des plaies.
Cette recette ancestrale a, depuis, été perfectionnée, avec la conception de pansements à base de soie d'araignée synthétique, la production naturelle par les araignées exigeant trop de temps.
Les diabétiques avec des plaies complexes pourraient en bénéficier.
Mieux, un support quadrillé dans ce biomatériau est à l'étude pour servir de guide lors de la régénération de tissus très abimés.
La structure du fil empêche tout microbe d'adhérer au pansement, ce qui limite les risques d'infection.