Même si nos chats sont des compagnons irremplaçables, ils peuvent être un risque pour notre cerveau si nous ne faisons pas assez attention, annoncent des chercheurs iraniens.
Si la compagnie des chats est surtout déconseillée aux femmes enceintes à cause des risques de toxoplasmose, une étude de la Lorestan University of Medical Sciences (Iran) alerte sur les risques de maladie d’Alzheimer... pour chacun d’entre nous.
Le parasite "Toxoplasma gondii", situé dans la matière fécale du chat, altérerait les transmissions neurologiques dans le cerveau humain. Il faut donc bien penser à se laver les mains après avoir changé une litière car une fois que l’infection se déclare, le parasite peut monter au cerveau et préparer le terrain pour Alzheimer, une schizophrénie, ou d’autres troubles cérébraux.
Résultat : les souris infectées par le parasite présentaient une déficience dans les fonctions d’apprentissage et de mémoire, comme si elles avaient Alzheimer. Le parasite affectait également les bonnes transmissions cérébrales contrairement au groupe témoin en bonne santé.
"Comme le parasite est attiré par la zone cérébrale, il est très probable que T. gondii soit lié à la maladie d’Alzheimer", a commenté Michael Sukhdeo, éditeur du Journal of Parasitology dans lequel est parue l'étude. Si ces résultats s’avéraient également vrais pour le cerveau humain, il serait un risque à la fois pour le fœtus et pour les adultes.
Si la compagnie des chats est surtout déconseillée aux femmes enceintes à cause des risques de toxoplasmose, une étude de la Lorestan University of Medical Sciences (Iran) alerte sur les risques de maladie d’Alzheimer... pour chacun d’entre nous.
Le parasite "Toxoplasma gondii", situé dans la matière fécale du chat, altérerait les transmissions neurologiques dans le cerveau humain. Il faut donc bien penser à se laver les mains après avoir changé une litière car une fois que l’infection se déclare, le parasite peut monter au cerveau et préparer le terrain pour Alzheimer, une schizophrénie, ou d’autres troubles cérébraux.
Des troubles d’apprentissage et de mémoire
Pour aboutir à cette conclusion, les scientifiques ont observé un groupe de souris infectées par le parasite, un autre groupe modifié pour développer une forme d’Alzheimer, et un autre en bonne santé.Résultat : les souris infectées par le parasite présentaient une déficience dans les fonctions d’apprentissage et de mémoire, comme si elles avaient Alzheimer. Le parasite affectait également les bonnes transmissions cérébrales contrairement au groupe témoin en bonne santé.
"Comme le parasite est attiré par la zone cérébrale, il est très probable que T. gondii soit lié à la maladie d’Alzheimer", a commenté Michael Sukhdeo, éditeur du Journal of Parasitology dans lequel est parue l'étude. Si ces résultats s’avéraient également vrais pour le cerveau humain, il serait un risque à la fois pour le fœtus et pour les adultes.