On savait déjà que la sociabilité de la souris est modulée de près par son microbiote.
On constate aussi que des modifications du microbiote altèrent la production de l'hormone qui génère attachement et lien social ( l'ocytocine ).
Et ce n'est pas tout : nos microbes pourraient même être impliqués dans le choix de nos partenaires sexuels !
Une étude a montré que 2 groupes de Drosophiles, développant des microbiotes différents préfèrent s'accoupler avec des partenaires au microbiote proche du leur.
On constate aussi que des modifications du microbiote altèrent la production de l'hormone qui génère attachement et lien social ( l'ocytocine ).
Et ce n'est pas tout : nos microbes pourraient même être impliqués dans le choix de nos partenaires sexuels !
Une étude a montré que 2 groupes de Drosophiles, développant des microbiotes différents préfèrent s'accoupler avec des partenaires au microbiote proche du leur.
Nombre de travaux ont montré que l'odeur corporelle, critère majeur du choix sexuel dans tout le monde animal ( nous compris ! ) résulte principalement de l'action des microbes !
La présence de "Lactobacillus reuteri ( ci-dessus ), semble induire la production d'ocytocine et soulager les symptômes de certaines psychoses.