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Aluminium dans les vaccins : 13 ans d'alertes et de dénis

2 participants

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Moregan

Moregan
CO-ADMIN

Une étude scientifique, dont les résultats ont été révélés au grand public par Le Parisien, montre que l’aluminium des vaccins peut migrer dans le cerveau, avec des conséquences potentiellement désastreuses pour la santé. Au lieu d’en tirer les conséquences, l'Agence de sécurité du médicament et la ministre de la Santé s'entêtent à nier les risques, y compris récemment devant la représentation nationale le 27 octobre dernier lors des débats sur l'obligation vaccinale. Alors que les preuves s’accumulent et qu’une alternative existe, les autorités sanitaires s’enferment dans le déni, au détriment des victimes de la myofasciite à macrophages, nouvelle maladie invalidante entraînée par l’aluminium des vaccins. Pour combien de temps encore ?

La plupart des vaccins inactivés en contiennent : diphtérie, tétanos, polio, coqueluche, hépatite B papillomavirus HIV, etc. Les vaccins vivants atténués n’en contiennent pas : rougeole, oreillons, rubéole, grippe, pneumocoque, Haemophilus b, mais on notera que le vaccin contre l’Haemophilus b est souvent injecté en mélange dans les vaccins multiples contenant de l’aluminium, notamment les vaccins de l’enfance (pentavalent et hexavalent).

Myofasciite à macrophage : l'émergence d'une nouvelle maladie

Cette maladie a été décrite pour la première fois en septembre 1998, dans le Lancet, principale revue médicale internationale, par les Professeurs Gherardi, Chérin et Coquet. Elle se caractérise par des douleurs musculaires et articulaires diffuses, ainsi qu’un syndrome de fatigue chronique (voir plus loin). À l’époque, ces chercheurs ignoraient quelle en était la cause et soupçonnaient une nouvelle maladie infectieuse, ce qui suscitera un certain intérêt des médias. Mais deux mois après la publication du Lancet, ils trouvent le vrai responsable : l’aluminium des vaccins. Une année d’enquête auprès des cent cinquante premiers malades recensés permet de transformer l’hypothèse en certitude. Les malades présentent tous une lésion typique à l’épaule au site où ils ont été vaccinés et qui est caractérisée par la formation d’agrégats d’aluminium persistants dans le muscle.
L’aluminium est connu depuis longtemps comme éminemment toxique pour le système nerveux, ce qui a été nettement établi après des accidents graves (encéphalopathies, décès) chez des sujets dialysés qui recevaient une solution contenant de l’aluminium. La présence d’aluminium dans l’environnement n’est pas sans poser question sur ses effets pour notre santé, mais l’absorption accidentelle par voie orale d’une très faible quantité d’aluminium est en principe suivie de son élimination rapide par l’organisme. Cette question devient majeure dans le cas d’un vaccin qui comprend un adjuvant à base d’aluminium, puisque celui-ci est directement injecté dans le muscle et que l’on comprend maintenant qu’après formation d’un agrégat sur place, peu à peu des particules d’aluminium vont circuler dans l’organisme et gagner le cerveau.

Qu’est-ce que la fatigue chronique ?

Le syndrome de fatigue chronique est une entité morbide qui peut recouvrir plusieurs maladies et qui est encore mal connue en France. L’intensité de ce syndrome est plus ou moins marquée selon les patients atteints de myofasciite et il peut être accompagné de troubles du sommeil qui peuvent aller jusqu’à la narcolepsie (endormissement spontané) et de troubles cognitifs plus ou moins sévères (troubles de la mémoire, altérations de la perception, difficultés motrices, troubles du raisonnement). À ce cortège de troubles, il faut ajouter les maladies auto-immunes, principalement la sclérose en plaques, qui touchent 19 % des malades. « 78 % des 300 adhérents de E3M sont en invalidité totale, ce qui veut dire qu’ils n’ont plus de travail, plus de vie sociale et une santé qui se détériore », explique Didier Lambert, son président qui ajoute : « Avec les membres de notre conseil d’administration, je fais partie des 12 % restant c’est-à-dire de ceux qui n’ont pas ou plus de troubles cognitifs et c’est ce qui nous permet de nous occuper de l’association. »
Vacciné contre l’hépatite B fin 1993 pour un voyage au Mexique, une vaccination dont il découvrira ultérieurement qu’elle n’était pas utile pour ce voyage, Didier Lambert ressent les premiers symptômes en août 1994. Ses symptômes s’aggravant d’année en année, il est en invalidité totale depuis 2004. Si, actuellement, les autres symptômes sont en amélioration, il reste atteint, comme beaucoup de malades, du syndrome des jambes sans repos qui l’oblige à suivre un traitement anti parkinsonien.
 les nanoparticules d’aluminium ont des propriétés particulières. Ces particules injectées dans le sang gagnent en quelques heures les ganglions lymphatiques puis la rate et le foie. « De là, elles vont migrer peu à peu vers le cerveau : une migration lente, mais inexorable. Cette lenteur explique que certains malades ne déclarent la maladie que plusieurs années après une vaccination », explique le Pr Gherardi.
Une autre expérience, menée de manière indépendante au Canada, confirmait que l’aluminium injecté chez des souris entraînait des troubles. Il faudrait mener des études de plus grande ampleur et cela nécessite des ressources dont ne dispose pas l’équipe du Pr Gherardi. Sa demande en ce sens restera lettre morte.

Deux grèves de la faim

L’association E3M mène de son côté une campagne de sensibilisation intense auprès du public, des médias et des élus qui va peu à peu porter des fruits, tout en aidant les malades dans leurs démarches pour s’adapter à leurs lourds problèmes de santé et leurs actions en justice. 129 députés et sénateurs français s’engagent à intervenir en leur faveur, ainsi que quelques parlementaires européens, dont Michèle Rivasi, députée française Europe Écologie, qui connaît bien le dossier et leur apporte un soutien sans faille. En mai 2012, Marisol Touraine, députée qui s’était engagée à intervenir en la faveur des malades, succède à Roselyne Bachelot, au poste de ministre de la Santé. Rien ne bouge pour autant. Et la dernière demande de financement, par le Pr Gherardi, se heurte en septembre à un refus de l’Agence du médicament et cela, juste après que l’Agence a participé au montage du dossier préparatoire à cette étude !
Là encore les lobbies ont eu gain de cause. Il faudra qu’une trentaine de victimes de myofasciite se lancent dans une grève de la faim, malgré leurs problèmes de santé (l’un est en fauteuil roulant), en novembre et décembre de cette même année pour que le ministère de la Santé s’engage à financer cette étude, à hauteur de 150 000 €, ce qui est très peu, mais la rend néanmoins possible. Le dossier est préparé pendant l’année 2013 par un comité de pilotage auquel est intégrée l’association E3M. L’étude, menée sur des souris, va aboutir à l’automne 2016. Elle démontre très clairement la migration de l’aluminium des vaccins dans le cerveau.
Un autre volet de l’étude établit une susceptibilité génétique qui pourrait expliquer pourquoi seule une minorité de vaccinés sont atteints. Trois experts ont évalué l’étude, en soulignant sa qualité et l’intérêt de poursuivre la recherche, un seul sur les trois émettant quelques réserves. La conclusion qui s’impose est nette : il y a un « signal » et l’Agence du médicament doit financer de nouvelles recherches, mais c’est au ministère de trouver le financement. Mais à nouveau rien ne bouge. Et lorsque Le Parisien fait état de ces résultats le 22 septembre 2017 (« Vaccins : le rapport qui dérange »), on assiste au même déni que 13 ans plus tôt.




Si le nombre de cas étudiés ailleurs dans le monde est faible, c’est pour deux raisons. C’est à la faveur de l’intense campagne de vaccination contre l’hépatite B qui a entraîné plus du quart des Français à se faire vacciner que les problèmes sont apparus. Et c’est parce qu’en France les laboratoires qui pratiquent des biopsies musculaires ont depuis des décennies l’habitude de pratiquer ces biopsies dans le muscle deltoïde l’épaule, là où se font les vaccinations depuis 1990, tandis qu’ailleurs dans le monde les biopsies se font au niveau de la cuisse ou du biceps !
Pour compliquer les choses, la myofasciite ne se déclare pas juste après la vaccination, mais à moyen ou long terme : six mois, un an ou deux, voire plus, ce qui explique pour quoi les médecins ont tant de difficultés à faire lien entre les symptômes et la vaccination. On nous dit que l’aluminium est utilisé comme adjuvant depuis plus de 90 ans sans problèmes.
Le nombre de malades de la myofasciite à macrophages en France n’est pas connu. L’association E3M en a recensé environ 600.

Ce sont donc certainement plusieurs milliers, voire plusieurs dizaines de milliers de malades non recensés qui en sont victimes, errent de médecin en médecin sans pouvoir obtenir un diagnostic ou sont étiquetés sous d’autres maladies, quand ils ne sont pas seulement considérés comme relevant de la psychiatrie. Avec la multiplication des vaccinations, le problème risque de s’aggraver. En effet, les travaux des chercheurs montrent actuellement que lorsque l’aluminium migre dans l’organisme, il peut entraîner des particules microbiennes ou des fragments d’ADN issus de la fabrication du vaccin.

Un peu long à lire mais très instructif , depuis longtemps je suis anti vaccin


  • Aluminium dans les vaccins : 13 ans d'alertes et de dénis Gabarit_3-2 

Nade

Nade
ADMIN

Oups !!

J'ai lu, sur Science et vie, un article à ce sujet et je ne m'en souviens plus ... :roll: :roll:

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