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Le chat Manx, chat affectueux et sociable, n’aime pas rester seul. Son maître, s’il est souvent absent, devra lui trouver un compagnon, mais il ne doit pas obligatoirement s’agir d’un chat car le Manx apprécie aussi les chiens.
Les origines du chat Manx
Originaire de l’île de Man, (à mi-chemin entre l’Angleterre et l’Irlande) dont il a pris le nom, ce chat est le curieux résultat de croisements restreints dus à une population féline assez limitée ; la sélection naturelle a donné naissance à ce chat très particulier, connu pour être privé de queue, et dans ce cas désigné sous le nom de Manx Rumpy.
Le chat Manx n’est toutefois pas toujours sans queue car on trouve aussi le Stumpy, qui en a un petit bout, le Riser, dont le bout de queue ne se devine qu’au toucher, et le Longy, doté d’un véritable appendice caudal. L’existence de ces autres types de Manx est une chance, car les gènes qui portent l’anourie (l’absence de queue) sont très dangereux pour la survie des chatons.
C’est pourquoi, même si les expositions ne reçoivent que les sujets sans queue, en réalité on élève aussi des sujets qui en montrent quelques vestiges ; de cette façon, on peut les croiser avec un Rumpy, car le syndrome de Manx, qui fait tant de victimes, n’apparaît que lorsqu’on croise deux exemplaires sans queue.
En plus de l’absence de queue, la rondeur est une autre caractéristique essentielle du chat Manx. Tout est donc rond chez ce chat : les yeux, la tête, les pieds et le corps ; les oreilles, grandes et bien écartées, s’arrondissent à la pointe. Mais cela ne suffit pas : ce chat, dans l’ensemble, doit être complètement rond. C’est un gros animal, compact et musclé, avec des flancs profonds ; le dos est court et forme un arc souple entre les épaules et les fesses, qui sont plus hautes.
Le Manx a une autre singularité, qui se manifeste par des pattes postérieures nettement plus longues que les antérieures ; non seulement cela le fait ressembler à un gros lapin, mais lui permet aussi de faire des bonds prodigieux et de disposer d’une capacité d’accélération formidable. Son poil, qui paraît luisant et dense, très doux, est doté d’un sous-poil fourni, avec des poils dominants plus longs ; c’est ce qui compte car la longueur du poil n’a pas d’importance ; en effet, en plus du mi-long, il y a également une variété à poil long appelée Cymric.
Toutes les couleurs et les dessins de la robe sont tous acceptés, à l’exception de ceux qui portent le gène Siamois, c’est-à-dire tous les colourpoints. Les plus courantes sont le roux, le noir, le bleu et le blanc.
Le chat Manx est un chat si affectueux et dévoué, un compagnon tellement génial pour toute la famille, des enfants aux personnes âgées, que les Américains l’appellent dog like (« presque chien »). Il est équilibré et très intelligent, il adore se sentir aimé et, justement pour obtenir l’affection et l’approbation de son maître, il apprend tout ce qu’on veut bien lui enseigner.
L’amour pour son maître l’amène à prendre des attitudes protectrices. C’est un véritable « chat de garde » qui souffle et même attaque les inconnus qui ont le malheur de susciter sa méfiance. Avec lui, il faut faire très attention car il n’apprend pas seulement ce qu’il ne doit pas faire, comme grimper aux rideaux ou se faire les griffes sur les fauteuils, mais aussi tout ce que font les humains, comme ouvrir les portes – de la maison, du réfrigérateur – et même les robinets.
S’il n’est pas touché par le syndrome de Manx – et dans ce cas il dépasse difficilement les premiers mois de sa vie – c’est un chat très sain, très robuste, qui ne demande pas de soins particuliers (à part le toilettage habituel).
L’une de ses caractéristiques agréables est son exceptionnelle longévité : s’il est bien traité, il peut facilement atteindre l’âge de vingt ans, sans troubles particuliers propres à son grand âge ; c’est peut-être dû à la lenteur de sa maturité, le chat Manx ne devenant vraiment adulte que vers l’âge de trois ans.
Le chat Manx, chat affectueux et sociable, n’aime pas rester seul. Son maître, s’il est souvent absent, devra lui trouver un compagnon, mais il ne doit pas obligatoirement s’agir d’un chat car le Manx apprécie aussi les chiens.
Les origines du chat Manx
Originaire de l’île de Man, (à mi-chemin entre l’Angleterre et l’Irlande) dont il a pris le nom, ce chat est le curieux résultat de croisements restreints dus à une population féline assez limitée ; la sélection naturelle a donné naissance à ce chat très particulier, connu pour être privé de queue, et dans ce cas désigné sous le nom de Manx Rumpy.
Le chat Manx n’est toutefois pas toujours sans queue car on trouve aussi le Stumpy, qui en a un petit bout, le Riser, dont le bout de queue ne se devine qu’au toucher, et le Longy, doté d’un véritable appendice caudal. L’existence de ces autres types de Manx est une chance, car les gènes qui portent l’anourie (l’absence de queue) sont très dangereux pour la survie des chatons.
C’est pourquoi, même si les expositions ne reçoivent que les sujets sans queue, en réalité on élève aussi des sujets qui en montrent quelques vestiges ; de cette façon, on peut les croiser avec un Rumpy, car le syndrome de Manx, qui fait tant de victimes, n’apparaît que lorsqu’on croise deux exemplaires sans queue.
Le chat idéal
En plus de l’absence de queue, la rondeur est une autre caractéristique essentielle du chat Manx. Tout est donc rond chez ce chat : les yeux, la tête, les pieds et le corps ; les oreilles, grandes et bien écartées, s’arrondissent à la pointe. Mais cela ne suffit pas : ce chat, dans l’ensemble, doit être complètement rond. C’est un gros animal, compact et musclé, avec des flancs profonds ; le dos est court et forme un arc souple entre les épaules et les fesses, qui sont plus hautes.
Le Manx a une autre singularité, qui se manifeste par des pattes postérieures nettement plus longues que les antérieures ; non seulement cela le fait ressembler à un gros lapin, mais lui permet aussi de faire des bonds prodigieux et de disposer d’une capacité d’accélération formidable. Son poil, qui paraît luisant et dense, très doux, est doté d’un sous-poil fourni, avec des poils dominants plus longs ; c’est ce qui compte car la longueur du poil n’a pas d’importance ; en effet, en plus du mi-long, il y a également une variété à poil long appelée Cymric.
La couleur du poil
Toutes les couleurs et les dessins de la robe sont tous acceptés, à l’exception de ceux qui portent le gène Siamois, c’est-à-dire tous les colourpoints. Les plus courantes sont le roux, le noir, le bleu et le blanc.
Le caractère
Le chat Manx est un chat si affectueux et dévoué, un compagnon tellement génial pour toute la famille, des enfants aux personnes âgées, que les Américains l’appellent dog like (« presque chien »). Il est équilibré et très intelligent, il adore se sentir aimé et, justement pour obtenir l’affection et l’approbation de son maître, il apprend tout ce qu’on veut bien lui enseigner.
L’amour pour son maître l’amène à prendre des attitudes protectrices. C’est un véritable « chat de garde » qui souffle et même attaque les inconnus qui ont le malheur de susciter sa méfiance. Avec lui, il faut faire très attention car il n’apprend pas seulement ce qu’il ne doit pas faire, comme grimper aux rideaux ou se faire les griffes sur les fauteuils, mais aussi tout ce que font les humains, comme ouvrir les portes – de la maison, du réfrigérateur – et même les robinets.
Les soins
S’il n’est pas touché par le syndrome de Manx – et dans ce cas il dépasse difficilement les premiers mois de sa vie – c’est un chat très sain, très robuste, qui ne demande pas de soins particuliers (à part le toilettage habituel).
L’une de ses caractéristiques agréables est son exceptionnelle longévité : s’il est bien traité, il peut facilement atteindre l’âge de vingt ans, sans troubles particuliers propres à son grand âge ; c’est peut-être dû à la lenteur de sa maturité, le chat Manx ne devenant vraiment adulte que vers l’âge de trois ans.